Questions Fréquentes
La séance dure le temps qu’il faut pour trouver des solutions, par l’éducation et le mouvement
thérapeutique fonctionnel pour construire ensemble une stratégie adaptée à la résolution de
votre problème et de vos douleurs articulaires.
Nous travaillons avec une approche cognitive et fonctionnelle qui prend plus de temps qu’une
consultation ostéopathique classique.
La durée moyenne est d’environ 1h
Le prix d’une consultation est de 70 euros.
Pour les étudiants et les mineurs le prix est de 60 euros
Certaines techniques peuvent être douloureuses parce qu’elles impliquent de travailler sur des zones déjà douloureuses.
Par exemple, une thérapie pour surmonter une phobie peut impliquer d’exposer progressivement le patient à des situations qu’il redoute, ce qui peut être très stressant et anxiogène.
Cependant, cette douleur temporaire est souvent nécessaire pour atteindre des résultats positifs à long terme.
Il est important de noter que la douleur ressentie lors de séance d’ostéopathie ne doit jamais être excessive ou débilitante, et que l’ostéopathe doit toujours travailler dans les limites de confort et de sécurité du patient.
Bien que certaines techniques d’ostéopathie puissent être légèrement douloureuses, elles sont souvent nécessaires pour atteindre des résultats positifs à long terme et améliorer notre bien-être. Il est important de travailler avec un ostéopathe compétent et de communiquer ouvertement tout inconfort ou douleur ressentis pendant la thérapie.
Si la douleur est trop grande, il est important d’en parler avec votre ostéopathe pour trouver une approche plus adaptée.
Nous attirons l’attention sur le fait que contrairement aux idées reçues, il n’est ni nécessaire ni utile de consulter régulièrement un ostéopathe, que ce soit pour un adulte ou un enfant.
L’effet préventif de séances dites de « révision », « d’entretien » ou encore de « bilan » reste à démontrer et de nombreux nourrissons se portent très bien sans être passés entre les mains plus ou moins expertes d’un ostéopathe.
À ce sujet, ce que la littérature scientifique met de plus en plus en évidence est l’effet préventif et protecteur de l’activité physique, même modérée (marche, vélo, etc.).
Il est donc fort probable, en dehors de cas particuliers, qu’une activité physique modérée, et qui vous procure du plaisir, ait un bien meilleur effet d’entretien et soit plus préventif qu’une séance d’ostéopathie tous les 6 mois sans autre motif que la « révision » ou « l’entretien ».
Les données de la science montrent aussi que de nombreuses douleurs d’origine musculo-squelettique disparaissent spontanément sans qu’il soit nécessaire d’intervenir.
S’offrir une séance d’ostéopathie c’est permettre à son corps un relâchement optimal et un
bien être assuré.
Les problèmes de sommeil sont souvent lié au stress accumulé durant la journée. s’offrir une
séance d’ostéopathie c’est permettre a son corps un relâchement optimal et un bienêtre assuré
Les maux de tête sont souvent associés à des tensions musculaires, à des contractures au
niveau du cou, des cervicales, des muscles trapèzes, liés a l’épaule mais aussi aux muscles de
la mâchoires et du crâne.
Les contre-indications aux traitements ostéopathiques peuvent varier en fonction de la
condition de santé du patient et de la technique utilisée, mais voici quelques exemples
courants :
- Fractures osseuses ou luxations articulaires aiguës
- Infections aiguës ou fièvre élevée
- Tumeurs ou cancers avancés non traités
- Troubles de la coagulation sanguine non traités
Il existe en fait 3 types de douleurs
La douleur nociceptive
La douleur nociceptive est une douleur causée par des stimuli qui endommagent les tissus, les nerfs ou les organes internes.
Ces stimuli sont détectés par des récepteurs sensoriels spéciaux appelés nocicepteurs, qui envoient des signaux de menace (thermiques chimiques et mécaniques) au cerveau.
Et pour créer la douleur le cerveau va prendre en compte avec plus ou moins d’importance ce que lui dit ce système de détection de menace il va aussi prendre en compte plein d’autres facteurs ce qui fait que parfois on pourra avoir mal sans avoir de tissus réellement menacés ça peut aussi arriver que l’on n’est pas mal alors que les nocicepteurs disent que la zone est menacée et donc douleur et lésions sont belles et bien deux choses différentes.
La douleur nociplastique
La douleur nociplastique est une forme de douleur chronique qui est causée par des changements dans le système nerveux central
C’est la douleur qui est influencée par des facteurs psychologiques, tels que le stress, la fatigue, l’anxiété ou la dépression. Elle peut être liée à une douleur physique réelle, mais peut également être une douleur subjective sans cause physique évidente. Elle peut être traitée avec une combinaison, de thérapie manuelle et de gestion du stress.
C’est le modèle de médecine bio-psycho-social qui est le plus recommandé.
La douleur neuropathique
C’est la douleur causée par des dommages ou des anomalies dans le système nerveux, tels que des lésions nerveuses, des infections ou des troubles neurologiques. Elle est souvent décrite comme une douleur brûlante, lancinante ou électrique, et peut être difficile à traiter.
On les appelle aussi les techniques structurelles, haute vélocité basse amplitude (HVBA) ou les techniques à bras de levier néanmoins il s’agit simplement de techniques articulaires plus énergiques qui par addition de forces et de contraintes conduisent vers une plus forte compression sous les mains du votre ostéopathe, la compression, le mouvement puis l’implosion d’une simple bulle gazeuze.
Lorsque la pression dans un liquide diminue, la tension de surface du liquide diminue également, ce qui permet aux bulles de vapeur de se former à partir des gaz dissous dans le liquide. Si la pression continue à diminuer, ces bulles peuvent grossir et finalement imploser de manière violente, créant des ondes de choc et du bruit.
Avec une force de distraction suffisante, l’attraction visqueuse entre les surfaces articulaires
est surmontée, ce qui explique la séparation rapide des surfaces articulaires lors de techniques
énergiques.
La chute de la pression dans le liquide synoviale qui en résulte permet au gaz dissous de sortir
de la solution, ce qui explique « l’espace libre » (bulle, cavité, vide, fracture fluide) créé Ã
l’intérieur de l’articulation Si la pression continue à diminuer, ces bulles peuvent grossir et
finalement imploser de manière violente, créant des ondes de choc.
Ces ondes de choc font vibrer les tissus autour de l’articulation et les détendent.